Premier pas...[pv Sunaiki ]

La nuit passé Ophélie c'était étendu dans son lit et avait rédigé une longue lettre à son frère sur tous ce qui entourait sa nouvelle vie. Elle était vraiment choyé. Le week end passé sa mère et elle ont fait une journée shopping, Elles ont achetées tous ce qui manquait à la nouvelle chambre d'Ophélie. Cette nuit avait été comme tous les même depuis des années, horrible, elle revoyait toujours la même scène horrible qu'elle avait vécut. Rien pour la rassurer.Ce matin, c'était la rentré d'Ophélie dans une nouvelle école. Elle hésitait beaucoup elle ne conaissait personne dans cette école ,elle avait peur. Pour la réconforter sa mère lui avait préparé de bonne pancakes avec du coulis de sirop partout dessus avec un énorme verre de lait. C'est l'odeur des pancakes qui avait réveiller la jeune femme. Après avoir délicieusement manger son petit déjeuné préféré. Elle était monté dans sa chambre, elle c'était regardé dans le miroire, elle se trouvait moche et se dégoutait aujuord'hui. Elle eavait enfillé un vieux jeans délavé et une vieille veste noir trop grande pour elle visiblement. Lorsqu'elle était arrivé ici sa mère lui avait trouvé une petite voiture grise pour être plus précise. Elle eu beaucoup de difficulté à la faire partir admetton que ce n'es pas vraiment du luxe cette voiture en plus elle passe vraiment pas innaperçut elle fait assé de bruit pour 2. Le longt du trajet jusqu'à son école Ophélie essayait de se donner confiance en elle ce qui n'était pas vraiment gagné. En rentrant dans le stationnement les jeunes gens ce tournait sur son chemin, elle détestait passer innaperçut lorsqu'elle ne le voulait pas. Elle avait trouvé une place de stationnement prêt de l'entrée, Lorsqu'elle avait arrêté son véhicule elle avait respiré profondément avant d'enfiler son capuchon sur sa tête. Elle s'assura que sa porte était bien vérouillé elle se tourna vers l'entrée. Elle semblait si loin, elle devait se rendre au bureau du directeur mais l'entrée juste à elle semblait être à des kilomètres. Ophélie voulu sortir un bout de papier de dans son sac mais tous le contenu se déversa sur le sol.
"ho! merde"
Elle qui voulait passer innaperçut c'était pas gagné, son véhicule menait un vacarme et la elle venait d'échapper tous ces choses. Elle était vraiment gêné, elle se sentait devenir rouge écarlate.

'Qu'est-ce qu'on s'em...bête.' Certes, Sunaiki. Mais c'est la vie. Il faut travailler, aller au lycée. C'est comme ça et pas autrement. Héla, j'ai 19 ans, je fais un peu ce que je veux, non ? Alors pourquoi t'es là ? Quelle question. Parce qu'il est là aussi. Au fond j'ai pas non plus trop le choix.
Comme de juste, Sunaiki était sur le parking, assis sur un petit rebord, en train de fumer. Fumer tue, mais ne pas fumer ne rend pas immortel. Alors bon. Ce n'était pas le pire qu'il ai pu faire. Alors mince. Assis tranquillement, il en était à sa troisième Mild Seven. Il savait qu'il devait les économiser, après tout, il allait avoir du mal à s'en procurer ici... mais tant pis, il prendrait autre chose. Dommage. Il aimait vraiment les Mild Seven. Elles avaient ce goût particulier de la liberté qu'il avait prise si tôt que son père n'avait pas eu le temps de réagir. En y pensant, Sunaiki sourit : il avait vraiment pourri la vie de ce type qui se disait son père. Mais vraiment, vraiment bien pourri. D'ailleurs, pourquoi il ne s'était pas suicidé, hein ? Ca aurait évité bien des problèmes. Lui-même n'aurait jamais fugué. Enfin, c'était du passé. A présent, il était là, loin de son pays natal, mais toujours avec sa seule raison de vivre à ses côtés, et des cigarettes. Que demande le peuple ? Le peuple, aucune idée, mais Sunaiki, plus rien. Il avait ce qu'il lui fallait.
Perdu dans ses pensées -pas très pures, je vous l'accorde-, Sunaiki ne remarqua pas qu'un voiture venait de se garer juste devant lui. Oh, bah chouette. De toutes évidences, le conducteur ne l'avait pas vu, il fallait dire qu'il était presque assis par terre, ce qui bien sûr n'arrangeait pas ses bidons, mais la voiture n'était pas très haute, en somme le conducteur (la conductrice ?) se fichait un peu de la tête du monde. Un peu plus et il se faisait écraser, ç'aurait quand même été sacrément dommage, vous n'êtes pas d'accord ? Pour autant, Sunaiki ne bougea pas. Il se contenta de fixer son regard sombre sur la carrosserie grise du véhicule, leva à peine la tête lorsque la portière s'ouvrit. Tiens, une fille. M'étonne pas. Il la regarda en haussant un sourcil, elle ne fit même pas attention à lui. Elle semblait stressée, décidemment les gens d'ici étaient bien étranges, plus que lui encore. Tiens, c'est possible ça ?
Le jeune homme observa son agresseur, un joli brin de fille dîtes-moi. Enfin, pour ce que les filles l'intéressaient. A l'occasion, oui, mais pas une fille aussi maladroite, quand même ! Elle venait de faire tomber toutes ses affaires, décidemment, ce matin-là elle avait dû se lever avec une plume dans le nez. La vior rougir lui arracha un autre sourire, la situation lui paraissait vraiment comique, pourtant ce n'était pas bien sympathique de se moquer d'elle. Oh, il ne se moquait pas. Il trouvait juste la situation comique, rien de plus, la fille en elle-même ne l'était pas vraiment après tout. Il ne prit même pas la peine de se lever pour l'aider, après tout il n'y était pour rien, il n'avait rien demandé et il n'allait pas gâcher une seconde de fumage intensif pour une fille qu'il était loin de connaître, et qu'il n'avait pas envie de connaître -pour l'instant ?- outre mesure. Cependant, il ne pu s'empêcher de lancer un acerbe :

« A ce stade-là, t'as meilleur temps de rentrer chez toi. »

Sous-entendu, excuse-moi ma fille mais tu fais tellement de bourde dès le matin que tu pourrais te transformer en catastrophe naturelle en continuant sur ta lancée, va te coucher ça ira mieux demain. Mais ça, c'était trop long pour que Sunaiki puisse le dire d'une traite sans faire de faute, puisque l'anglais n'était tout de même pas sa langue maternelle. Si, bien sûr qu'il savait le parler. Mais il y a des limites, et puis pourquoi se serait-il cassé le train pour le faire ? Cela n'allait rien lui apporter. Ah, vraiment... t'es bien un profiteur, toi.

Ophélie se sentait tellement mal en se moment, elle qui voulait passer innaperçut tous le monde la regardait . Ils avaient tous le même regard qui disait mais c'est qui cette fille. Elle est vraiment maladroite. Elle entendait des murmure. non mais ils n'avaient jamais été nouveaux à quelques parts, en tous cas si c'est le cas l'on ne leur a jamais dit la même chose qu'à elle. « A ce stade-là, t'as meilleur temps de rentrer chez toi. » Non mais pour qui il se prend celui la. Elle le savais bien qu'elle aurait du resté couché mais sa mère aurait pas trop apprécié.
-Bah ...... je sais pas.... Peut-être.
Dit elle sur un ton tous aussig gêner que son visage le démontrait. Et incompréhensible.. Certain jour elle se demande pourquoi elle est resté dans se monde où rien ne lui réussit jusqu'à présent..Elle leva le regard vers le jeune homme, elle se rendit compte qu'elle l'avait presque écrasé, ces yeux démontra son état de surprise. Elle se sentait de nouveau très mal. Décidément il avait raison elle aurait du resté coucher se matin et le monde irait bien mieux sans elle.
-Désolé ... je n'ai pas voulu...
Resaisit toi Ophélie il te fera aucun mal et puis vous êtes en publique, elle devait se ressaisir sinon il la prendrait pour une folle. elle començait à avoir chaud avec son capuchon alors elle le retira, ce qui fit tomber ces longt cheveux noir le longt de ces épaules. Et laisait voir son visage marqué par la fatigue et la peur de cette nouvelle journée qui s'annonçait déjà très mal. Mais elle refusait que cela paraisse trop

Peut-être ? Sûrement oui. Pauvre enfant. Enfin, enfant. T'as une sacrée poitrine pour une enfant. Eh, Sunaiki, c'est le matin ! Bah oui et alors ? Et c'est une fille ? Oh, ça va hein. Et moi je suis quoi, tu m'explique ? Je ressemble pas à une nana peut-être ? Et puis, avec mes cernes sous les yeux, je lui fait une sacrée concurrence à la minette là. Je devrais peut-être dormir plus. Ouais, mais quelle idée de m'avoir mis dans la même chambre que mon frère, aussi. Sunaiki, arrête de penser, et réponds-lui. Répondre ? Pour quoi faire ? Ca me branche pas outre mesure, cette histoire.
Sunaiki se leva. Si la jeune fille avait chaud, lui était plutôt enclin aux frissons, il fallait dire que, le short de bon matin, ce n'était pas la meilleur idée qui soit. Mais quand on a le style, on assume, qu'il pleuve, qu'il neige, qu'il vente, ou que ce soit le matin. Il l'observa, ou plutôt, la toisa. Elle lui faisait penser à une junky mal réveillée parce qu'elle s'est shootée toute la nuit. D'instinct, il porta sa main libre au bras dont la main tenait sa cigarette. Junky... qui a dit 'junky' ? Il sourit en coin, si cette fille était une junky, alors lui devait être en phase terminale. D'un air absent, il annonça :

« Si t'avais voulu, ce serait grave, entendons-nous. »

Il lui adressa un sourire mesquin, qui lui donnait l'air d'un serial killer. Eh, il n'avait jamais tué personne, le Sunaiki. Pas encore, ça ne saurait tarder certes, mais il n'avait jamais tué personne jusqu'à cette instant précis. Il balança sa cigarette, sans même l'éteindre -ce qui n'était pas un problème en soi puisqu'elle était fumée jusqu'au filtre, Sunaiki luttait contre le gaspillage, à sa manière- , puis, au bout de quelques secondes, il se mit à fouiller dans la poche de son joli short noir pour en sortir son paquet bleu et blanc et un zippo aux jolies couleurs militaires. Il sortit une Mild Seven, l'alluma, observa un instant la flamme du zippo, remit le tout -paquet et briquet à essence-, dans sa poche. Le tout sans lancer le moindre regard à la jeune fille. Après tout, une cigarette lui paraissait bien plus importante, et que la fille reste ou non ne l'importait pas outre mesure. Mais, voyant qu'elle était toujours là, il leva les yeux vers elle. 'Bouh'.
Il aurait aimé ne rien avoir à dire. Mais c'était plus fort que lui, il devait lancer encore une fois une réplique acerbe. Il savait déjà ce qu'il allait dire. Son but ultime n'était pas de faire plaisir aux gens, loin s'en faut. En fait, il était plutôt du genre à les rabaisser sans même s'en rendre compte, et se fichait pas mal que les gens lui en tienne rigueur ou non. Il l'observa de haut en bas, tira une bouffée sur sa cigarette blanche, planta ses yeux dans les siens. Puis, avec un sourire en coin, il annonça d'une voix étrangement neutre pour une remarque aussi mesquine :

« Tu sais, l'anticerne est une incroyable invention du vingtième siècle. Il va de paire avec les nuits blanches, les cours à deux yens et l'héroïne. »

T'aurais pu éviter. Eviter quoi ? 'L'héroïne'. Oh, certes. Mais je ne suis pas là pour passer pour un enfant de choeur. Ciel, ce qu'elle peut avoir l'air crevée, cette fille ! Faudrait qu'elle pense à dormir parfois, elle est presque au même niveau que moi, ça craint à ce stade. Sunaiki, tu crains ? Oh, non. Moi j'ai mes raisons. Et puis, moi je sais les camoufler, mes cernes. Et quand bien même, je suis canon même avec une tronche de zombie. Mh. Ce qui est bien, avec toi, c'est qu'au moins, t'as de l'estime pour quelqu'un, à savoir toi. Pourquoi, j'ai pas le droit ?

Ophélie, était une jeune femme assé méfiante et ce jeune homme ou plutot non c'était un homme sa voix le trahisais. Elle avait toujours eu quelques difficulté à différencier les personne du genre visual kei amis elle ne pouvait pas trop déterminé son genre à lui. Elle commençait à la désespéré. Elle ler egarda lancer son mégotde cigarette. Elle avait envih de lu idire ce qu'elle penser de cet acte mai se tut cette personne lu ifaisait légèrement peur. Lorsqu'elle le vit s'allumer une nouvelle cigarette elle écarquilla les yeux. Et ne put s'empêcher de lui balancer à voix base.
-Cela va finir.... par te tuer imbécile.
Elle le regarda 1 instant. Plus quelle le regardait s'avancer décidément il lu ifaisait vraiment peur. Normalement elle avait l'habitude de faire face mais depuis quelques années pratiquement tous les hommes la tromatisait. elle commençait a se dire qu'elle devrait penser à aller voir le directeur pour avoir les renseignement qui lui manquait pour le reste de l'année. Elle rebaissa sa tête, le soleil était omeni présent aujourdhui et cela l'énervait au plus haut point. Elle refusait catégoriquement d'enlever sa veste. Elle se sentira trop vulnérable quoi qu'elle l'était déjà probablement beaucoup. « Tu sais, l'anticerne est une incroyable invention du vingtième siècle. Il va de paire avec les nuits blanches, les cours à deux yens et l'héroïne. »

-Non mais...... Pour qui tu te prend pour me dire ça....Tu ne me connais même pas.
Avait dit cela en 3 phrase mais y fallait lui laisser une chance elle a beaucoup de difficulter à alligner des mots 1 après l'autre.Elle releva son regard vers lui, i lallait pas commencer à lui chercher le trouble. elle était pas d'humeur en effet le someil lui manquait et cela la rendait éritable ce n'est aps parce qu'elle est du genre réservé et silencieuse qu'elle se laise toujours marcher sur les pied..
Si tu serait dans le même état d'esprit que moi toi aussi tu ne dormirait pas. Quoi que tu n'as pas l'air a dormir plus. Alors le cache cerne te serait peut-être utile tu as beau être un homme sa n'empêche rien.
Ouf il lui avait fallut un peu de courage pour tou dire sa sans prendre de pause de quelques minutes. Son visage c'était durcit. Personne ne viendra l'insulté aujourdhui. Elle se sentait déjà pas très à sa place. Un vent légé venait de faire sa place dans les rayon chaleureux du soleil. Se qui appait la petit ophélie.

[ Hs: Hey de l'inspiratio nc'est fou moi a soir xD]

Me tuer ? Oh, mais ma petite dame, s'il n'y avait que ça. Franchement, la cigarette est la dernière des choses qui pourrait me tuer. Je te fais peur ? Oh, chouette. J'adore faire peur. Tu voudrais pas crier un 'au secours' pour me faire plaisir ? Quoi, j'ai pas assez joué les psychopathe ? T'inquiète pas, va, ça va s'arranger incessamment sous peu.
Sunaiki l'écouta calmement. 'Ouh, j'ai peur, vraiment'. Si elle pensait l'impressionner, elle se fourrait le doigt dans l'œil, jusqu'au coude. Il en avait vu d'autres. Ce n'était pas une gamine comme elle qui allait lui faire peur, vraiment. Ce n'était certes pas très sympathique de sa part, mais il n'avait absolument pas la moindre honte à la voir s'énerver contre lui de bon matin. En fait, c'était même plutôt appréciable. Au moins, il se rappelait pourquoi il n'aimait pas les êtres humains. Si susceptibles, vraiment, si... inutiles et stupides. Il sourit en coin. Cette fille se plaignait ? Mais de quoi se plaignait-elle ? Elle était en vie, elle était au lycée, que demandait-elle de plus ? Euh... le lycée n'était pas tellement le meilleur exemple de bonheur, certes... Mais bon, qu'elle aie des problèmes lui passait très haut au-dessus du crâne, sachant qu'il n'aimait que lui-même. Enfin, en théorie, mais ce n'était pas à l'ordre du jour. 'Rien n'est jamais à l'ordre du jour, ma vie commence la nuit'. La nuit... Sunaiki leva les yeux vers le ciel. Il était clair, bleu, le soleil brillait. Sunaiki détestait ça. Il fit une grimace de dégoût, puis baissa de nouveau les yeux, vers la jeune fille. Il n'avait écouté que d'une oreille les reproches qu'elle lui faisait. Il attendit un court instant, continuant de fumer nonchalamment sa cigarette, puis, après avoir soufflé la fumée, il la regarda dans les yeux, et se concentra pour ne pas faire de fausse note dans ses paroles.

« Ca y est, tu as fini ? Pour commencer, la cigarette est en queue de peloton du palmarès des choses susceptibles de me tuer, à savoir mon frère, l'héroïne, moi-même, la connerie humaine, et enfin l'innocente cigarette. Passionnant, n'est-ce pas ? Ensuite, mon esprit, je peux t'assurer que contrairement aux dires des psychologues, dans le cas présent, il se porte plutôt bien. Les cernes sous mes yeux, c'est à force de passer des nuits blanches à vivre ma décadence en sortant par effraction ou encore en faisant des choses peu claires avec un mec dont je ne citerais pas le nom. Mais en même temps, le look junky me va plutôt bien, tu ne trouve pas ? »

Alors là, il s'étonnait lui-même. Seigneur, il avait... il avait réussi à placer autant de mots à la suite ayant un sens, le tout avec son habituel ton ironique, quoique sur la fin, il paraissait carrément... ouais, en somme, il avait parlé comme un 'salopard'. C'était ce qu'il était, à l'évidence. Il adressa un sourire éclatant à la jeune fille, puis s'appuya contre le poteau le plus proche, sans cesser de la regarder. Il était arrogant. Arrogant, et carrément désagréable. Mais c'était un peu sa marque de fabrique, après tout, il avait été fait comme ça. Enfin, peut-être sa deuxième naissance avait-elle atteint son système cérébral, quoique pour avoir abandonné un gosse dans ses conditions, sa mère avait dû être bien dérangée elle aussi. Mais ça, c'était sa petite histoire. Non, il n'était pas dans le même état d'esprit que la jeune fille. Lui n'avait pas été violé. Il avait vu des centaines de types, voir plus, lui passer sur le corps, lorsqu'il se prostituait pour garder son frère à ses côtés. Et il avait été abandonné à la naissance dans une consigne automatique. Gifu Hashima's Coin Locker #12 Baby, son identité réelle.
Alors, dis-moi, combien de temps vas-tu tenir, avant de prendre tes jambes à ton cou ? Tu veux que je fasse pire ? Je peux, tu sais. L'inutilité de la majorité de la race humaine me dégoûte, si tu savais. Je trouve tellement futile l'existence de la plupart des gens. Tu en fais partie. Ne sois pas vexée, ne m'en tiens pas rigueur, quoique tu le puisse sans que cela ne m'affecte, mais c'est génétique chez moi. Je n'aime pas les êtres humains. Je n'aime personne. Sauf moi. Et j'en suis fier. Je fais peur, j'énerve ? Tant mieux. Ceux qui ont peur de moi ne savent pas qui je suis. Ils ne devraient pas avoir peur de moi. Ils devraient me détester, me haïr, m'envier, et avoir la trouille à en crever.

Les deux jeunes gens avaient chaqu'un leur lot de problème c'était véident ce qu irendait l'atmosphère quelque peu lourde autours des jeunes gens. Lui ça n'avait pas l'air à le déranger mais pour Ophé' c'était le cas. Les jeunes qui circulaient dans le stationnement dévisageai les 2 jeuns gens mais elle s'en futait Hé! oui ça lui arrivait de se foutre de ce que les gens pensait. Encore plus quand quelqu'un la dérangeait. Sunaiki avait beau l'énerver mais il l'intriguait comme quelqu'un pouvait négliger autant sa santé. Il lui dit qu'elle est sur l'héroîne mais lui c'est vraiment le cas elle aiemrait pas être dans sa peau encore plus qu'elle ne l'est dans la sienne.

-C'est toi qui vois ....

elle avait retrouvé son ton doux et calme elle ne voulait pas le provoquer d'avantage. S'il désirait qu'elle le déteste il n'avait qu'à continuer mais elle l'intriguait trop pour le détester à ce moment même. Elle le regardait avec un regard interrogateur.

-dit moi tu te sent tu bien dans tous ça?

[Désolé du retard :S mais mon job me décourageai et le peu de temps que j'avais a moi je me reposais]